VIDEO - Regardez pourquoi Frigide Barjot décide de quitter cette interview !
En pleine interwiew, la leader des anti-mariage homo décide de stopper la séquence... Pourquoi ?
En pleine interwiew, la leader des anti-mariage homo décide de stopper la séquence... Pourquoi ?
Il a commencé l’année avec quelques frasques que l’on n’oubliera pas. Nudité, drogue, violence et problème de santé… autant de preuves que son adolescence n'est pas encore derrière lui, même s'il croit le contraire. Cette semaine, alors que Justin Bieber a une nouvelle fois amusé ses détracteurs avec une phrase malheureuse sur Anne Frank, le jeune chanteur a fini par retrouver du réconfort auprès de son ex: Selena Gomez, ainsi que d’autres alliés de taille.
Le calvaire est bientôt fini pour Justin Bieber. Le chanteur malheureux, largué en début d’année par Selena Gomez devrait bientôt renouer avec la gagne puisqu’il vient de retrouver l’amour avec son ex. La jeune actrice sexy, vue dernièrement dans le drame de Harmony Korine, Spring Breakers, a été aperçue plus tôt cette semaine en Norvège où l’idole des jeunes donnait un concert. Il faut croire que la starlette a revu sa copie après une rupture douloureuse en début d’année. On ne sait pas encore si leur histoire est officielle, puisque l’amoureux a posté très brièvement une photo d’eux sur Instagram avant de la retirer aussitôt.
De nouveau en couple avec l’ambitieuse adolescente de la chaîne Disney, Biebs va être contraint d’arrêter les bêtises. En effet, en tournée travers l’Europe, le protégé d’Usher avait semé un nouveau scandale dans chaque ville qu’il avait visitée. On se souvient notamment fin mars, qu’il avait été obligé de se séparer de son petit singe Mally, Munich. Pas plus tard que cette semaine, Justin Bieber a également allumé une vive polémique Amsterdam. «Anne (Frank) était une fille géniale. Aucun doute qu’elle aurait été une de mes fans»: un slogan dont le morveux se serait bien passé vu ses nombreuses casseroles.
Après quelques performances scéniques au plus bas, le chanteur de All around the world remonte la pente grâce au soutien de ses proches et moins proches. Ainsi, Eva Schloss, la demi-sœur d’Anne Frank est intervenue pour faire cesser le lynchage contre Bieber. En réponse aux (...)
FOOTBALL – L'attaquant portugais est convoité par le PSG…
Florentino Perez n'a pas l'intention de laisser filer tranquillement son joueur vedette. Lors d'un discours devant les socios du club dimanche, le président du Real Madrid Florentino Perez a affirmé qu'il allait bientôt entamer des négociations avec Cristiano Ronaldo pour prolonger le bail de l'attaquant portugais. «C'est clair qu'il restera avec nous, a souligné Perez, comme le rapporte le quotidien As. Si nécessaire, nous mettrons plus d'argent.»
Sous contrat jusqu'en 2015, Cristiano Ronaldo est convoité par le PSG qui chercherait l'attirer en France dès cet été. En janvier, le directeur sportif du club parisien Leonardo n'avait pas nié l'envie des investisseurs qataris de conclure ce transfert.
Le vice-président de l'UMP Brice Hortefeux s'est déclaré dimanche 21 avril "hostile" une nouvelle élection pour la présidence du parti en septembre, malgré l'accord passé en décembre dernier entre Jean-François Copé et François Fillon qui prévoyait un tel scrutin.
"Je vous dis titre personnel, je suis hostile une élection anticipée. Je ne souhaite pas qu'il y ait d'élection anticipée, je souhaite que l'élection ait lieu son terme (...) je crois que c'est en 2015", a déclaré le député européen, invité du "Grand Jury" RTL-LCI-Le Figaro.
Nous avons besoin d'une opposition qui ne se concentre pas sur son nombril (...) S'il y a une élection, ça veut dire qu'il y a division, et s'il y a division entre nous cela signifie (du) répit pour la majorité", a ajouté l'ancien ministre de l'Intérieur.Brice Hortefeux, qui avait soutenu Jean-François Copé lors de la campagne précédente pour la présidence de l'UMP, est également président de l'association des amis de Nicolas Sarkozy.
L'élection du 18 novembre 2012 avait donné lieu une bataille très dure et durant des semaines entre Jean-François Copé et François Fillon qui s'étaient accusés de triche. Le 18 décembre dernier, les deux rivaux étaient tombés d'accord pour qu'il y ait une nouvelle élection en septembre 2013 et que Jean-François Copé reste, jusque-l , président du parti.
Le Parlement doit se prononcer lundi sur la prolongation de l'opération militaire française au Mali, dont le dispositif est peu peu allégé, près de quatre mois après le début des combats contre les groupes islamistes qui occupaient le nord du pays.
Le vote des parlementaires ne devrait pas réserver de surprise, députés et sénateurs ayant jusqu' présent soutenu massivement l'intervention.
Après le démantèlement des réseaux jihadistes par les forces françaises, l'incertitude sur le processus de réconciliation malien et l'avenir politique du pays, clé d'une stabilisation de la région, devraient être au coeur des débats.
Fin février, un large consensus s'était dégagé lors d'un premier débat sur l'opération Serval. Lundi, la discussion sera cette fois suivie d'un vote, l'article 35 de la Constitution stipulant que quand la durée d'une opération extérieure excède quatre mois, sa prolongation est soumise l'autorisation du Parlement.
L'intervention française a débuté le 11 janvier, mais les vacances parlementaires programmées dans la première quinzaine de mai ont conduit avancer le débat.
Les soldats français sont actuellement un peu moins de 4.000 au Mali, mais leur retrait a débuté mi-avril avec le retour en France d'une centaine d'hommes. Cinq avions de chasse, Rafale et Mirage 2000 D, ont également été désengagés.
Un retrait dont le président François Hollande a répété vendredi qu'il sera "progressif" en "fonction de la situation".
"Dès lors que nous avons libéré l'ensemble du territoire, sécurisé la totalité des villes, nous n'avons plus avoir la même présence (...) En même temps, nous devons nous assurer que les troupes - africaines notamment - vont avoir la même efficacité", ce qui "prendra du temps", a-t-il fait valoir.
Selon le calendrier fixé par le gouvernement, les effectifs français devraient être ramenés 2.000 hommes en juillet et un millier fin 2013, pour une durée indéterminée.
Cette force "parallèle" pourrait intervenir au côté de la mission de stabilisation de l'ONU qui doit se mettre en place, "pour lutter contre le terrorisme".
La Commission de la Défense et des Affaires étrangères du Sénat s'est déj prononcée mardi pour la prolongation de l'intervention française.
Dans un rapport adopté l'unanimité par la commission, les sénateurs Jean-Pierre Chevènement (RDSE) et Gérard Larcher (UMP) appellent en revanche "consolider d'urgence le processus de réconciliation malien".
"Le dialogue avec le nord, qui n'a pas commencé, est le noeud gordien de la reconstruction de l'Etat et de la refondation politique du Mali", écrivent-ils. La volonté des autorités maliennes promouvoir "une véritable réconciliation" n'étant pas, selon eux, totalement avérée.
Paris veut la tenue d'élections en juillet au Mali, pour restaurer une légitimité démocratique Bamako. Mais le dialogue entre les autorités maliennes et les populations du nord, notamment les Touaregs, tarde se mettre en place.
Sur le terrain, l'armée française poursuit ses opérations dans le nord, notamment dans la région de Gao, parallèlement au début de retrait. Des opérations, selon l'état-major, "de sécurisation des zones reprises", au cours desquelles les jihadistes évitent généralement tout contact avec les forces françaises.
LE CAIRE (Reuters) - Le ministre égyptien de la Justice, Ahmed Mekki, a présenté sa démission pour dénoncer ce qu'il considère comme une "attaque" contre le système judiciaire, a-t-on appris dimanche de sources judiciaires.
Selon Ahmed Salam, porte-parole du ministère de la Justice, Ahmed Mekki a offert sa démission au président Mohamed Morsi samedi au lendemain d'une manifestation d'islamistes qui ont demandé une "purification" de l'appareil judiciaire.
Le président Morsi, issu des Frères musulmans, a annoncé le même jour un prochain remaniement ministériel.
La démission d'Ahmed Mekki intervient également alors que la chambre haute du Parlement examine un projet de loi visant renforcer les pouvoirs du gouvernement sur la composition du système judiciaire. Le ministre de la Justice avait prévenu plusieurs reprises dans la presse qu'il démissionnerait si ce texte devait être adopté.
Ancien vice-président de la Cour de Cassation, Ahmed Mekki était considéré comme un ardent défenseur de l'indépendance de la justice sous la présidence d'Hosni Moubarak, qui a nommé la plupart des juges encore en poste aujourd'hui.
Depuis son entrée en août au gouvernement, dont il était parfois présenté comme la "caution" révolutionnaire, il s'est opposé publiquement plusieurs décisions du président Morsi, dont le limogeage du procureur général Abdel-Méguid Mahmoud et son remplacement par Talaat Abdallah.
La démission de ce dernier est aujourd'hui l'une des principales revendications de l'opposition libérale et de gauche, qui dénonce sa politique partiale et ses attaques répétées contre les médias indépendants.
Les islamistes accusent de leur côté les juges issus de l'ancien régime, notamment ceux de la Cour suprême qui ont ordonné la dissolution de la chambre basse du Parlement, d'entraver la transition de l'Egypte vers un système démocratique.
Tom Perry et Asma Alsharif; Tangi Salaün pour le service français
en coulisses Peut-on être écolo et lire « 20 Minutes » sans se salir les mains ?
Le journal que vous tenez entre les mains est un des 976 725 exemplaires tirés chaque jour (source OJD février 2013). Multipliez ça par 210 jours de parution chaque année et on imagine déj des forêts dévastées. Pour éviter le massacre, le papier utilisé pour imprimer votre quotidien est produit partir de fibres de récupération. Les quatre papetiers qui travaillent avec 20 Minutes ont également obtenu le label PEFC, qui garantit que le papier vierge est issu de forêts gérées durablement : pas de traitements chimiques dans les bois, respect de la biodiversité et interdiction des feux pour éliminer les restes de branches font partie des critères respecter pour obtenir ce label.
Une fois le papier produit, il faut l'imprimer. Les éditions locales de 20 Minutes sont produites au plus près des lieux de distribution, ce qui limite les transports. Cela coûte moins cher, mais on économise aussi du CO2. Six de nos huit imprimeurs ont obtenu le label Imprim'Vert, qui garantit que les déchets dangereux issus de l'impression ne sont pas jetés dans la nature, qu'aucun produit toxique n'est utilisé et que les liquides polluants sont stockés de manière sûre.
Mais une fois le journal lu, que devient-il ? Pour optimiser le recyclage et éviter que les transports en commun ne soient jonchés de journaux, 20 Minutes a testé Strasbourg (Bas-Rhin) des présentoirs de distribution équipés de corbeilles de récupération. Malheureusement, « après un an d'exploitation, nous constatons que nous récupérons bien d'autres types de déchets que nos journaux, et que le système reste globalement peu utilisé », explique Frédéric Lecarme, directeur général adjoint print de 20 Minutes. Alors, une fois les mots croisés finis, n'oubliez pas qu'il n'appartient qu' vous de faire en sorte que ce journal ne salisse pas la planète : donnez-le votre voisin de métro, jetez-le (...)