Un journal aussi vert que possible
en coulisses Peut-on être écolo et lire « 20 Minutes » sans se salir les mains ?
Le journal que vous tenez entre les mains est un des 976 725 exemplaires tirés chaque jour (source OJD février 2013). Multipliez ça par 210 jours de parution chaque année et on imagine déj des forêts dévastées. Pour éviter le massacre, le papier utilisé pour imprimer votre quotidien est produit partir de fibres de récupération. Les quatre papetiers qui travaillent avec 20 Minutes ont également obtenu le label PEFC, qui garantit que le papier vierge est issu de forêts gérées durablement : pas de traitements chimiques dans les bois, respect de la biodiversité et interdiction des feux pour éliminer les restes de branches font partie des critères respecter pour obtenir ce label.
Une fois le papier produit, il faut l'imprimer. Les éditions locales de 20 Minutes sont produites au plus près des lieux de distribution, ce qui limite les transports. Cela coûte moins cher, mais on économise aussi du CO2. Six de nos huit imprimeurs ont obtenu le label Imprim'Vert, qui garantit que les déchets dangereux issus de l'impression ne sont pas jetés dans la nature, qu'aucun produit toxique n'est utilisé et que les liquides polluants sont stockés de manière sûre.
Mais une fois le journal lu, que devient-il ? Pour optimiser le recyclage et éviter que les transports en commun ne soient jonchés de journaux, 20 Minutes a testé Strasbourg (Bas-Rhin) des présentoirs de distribution équipés de corbeilles de récupération. Malheureusement, « après un an d'exploitation, nous constatons que nous récupérons bien d'autres types de déchets que nos journaux, et que le système reste globalement peu utilisé », explique Frédéric Lecarme, directeur général adjoint print de 20 Minutes. Alors, une fois les mots croisés finis, n'oubliez pas qu'il n'appartient qu' vous de faire en sorte que ce journal ne salisse pas la planète : donnez-le votre voisin de métro, jetez-le (...)